Souvent quand je réponds à des gens sur le net, sur un sujet quelconque, je me demande comment faire pour donner des faits sans paraitre présomptueuse et égocentrique...
Quand je connais la réponse à une question, que je suis sure d'avoir raison, il est difficile d'expliquer à quelqu'un qui n'est pas d'accord avec moi que je ne suis pas en train de débatre, je n'expose pas un point de vue, mais des faits immuables et constants.
Dois-je alors pour ne pas me mettre ces personnes à dos fermer ma gueule ou dire "oh mon dieu tu as tellement raison", tout en sachant en moi-même qu'ils ont tort?
Triste constat, l'Autre n'accepte pas d'avoir tort. Mais dans ce cas comment être certaine que je ne suis pas cet Autre?
Je remets souvent en question ce que je sais, je sais reconnaitre quand j'ai tort. Mais quand j'ai raison, et que je suis certaine de ce que j'avance, il m'est toujours difficile de ne pas tomber en face de personne qui ont leur avis propre et néanmoins erroné car trop subjectif, et refusent de se remettre en question...
J'en suis lassée. Cette comédie me submerge et me désespère. Depuis que l'on peut sur internet exposer toutes ses idées et ses points de vue, on estime qu'on peut avoir un avis sur tout, y compris sur des sujets qui n'ont qu'une réponse.
Dois-je alors me taire? Laisser passer et fulminer en silence avec l'envie de hurler qu'ils se trompent, qu'ils sont cons et oublieux des faits et de la logique?
Hélas, je crois qu'il serait somme toute vain d'essayer de changer les gens et de leur faire admettre leurs erreurs. D'aucun estime que ce n'est pas mon rôle.
Je le sais, il faut passer au dessus de tout ça, mais plus ça va plus le risque que les faits et la logique n'aient plus de poids est grand, que la culture se perde au profit d'opinions subjectives.
J'aimerai pouvoir crier au monde que les faits sont là et qu'il existe des sujets dont la réponse est immuable et objective de par les faits.
J'en ai assez de me cogner à des murs, mas plus encore de constater que ces murs existent.
Cette comédie se joue, et je n'y peux rien...
dimanche 2 septembre 2012
lundi 20 août 2012
Friendship
Récemment je me suis mise à réfléchir au sujet de l'amitié, en général.
Je savais depuis longtemps que l'amitié est à la fois quelque chose de solide et de fragile. Mais c'est toujours déplaisant de le constater.
Récemment, j'ai mis fin à une amitié qui avait disparue d'elle-même. Avec cette personne, j'ai connu de bons moments, mais depuis quelque temps les choses se sont dégradées. Elle a finit par ne plus me voir comme son amie, et a décidé de faire semblant du contraire, tout en me le faisant comprendre.
Je me suis rendue compte que pour moi aussi cette amitié n'avait plus de sens, prendre la décision de ne plus la voir ne m'a pas plus perturbé que ça.
Peut être qu'inconsciemment j'avais compris et assimilé le message qu'elle voulait me faire passer.
Mais je suis en colère, parce qu'il aurait été plus correct d'en parler plutôt que de se taire en me laissant m'imposer dans sa vie alors même qu'elle ne me supportait plus.
Je me dis parfois que c'est peut-être par peur de se mettre à dos nos amis commun qui l'a fait être hypocrite envers moi...
Je ne sais pas, mais s'il est une leçon que je retire de cette mésaventure, c'est que l'amitié n'est pas immuable. Elle peut s'envoler d'un coup, juste parce qu'on se rend compte un jour qu'on a pris des chemins différents, qu'on n'a tout simplement plus rien à se dire.
C'est une chose que je me suis toujours refusé à croire, on a toujours quelque chose à partager... Pas toujours il faut croire.
Je pense que les choses sont mieux ainsi, il aurait été gênant, douloureux ou juste énervant de continuer à faire semblant.
D'un autre côté, j'ai constaté la solidité que peut avoir l'amitié, parce que récemment j'ai repris contact avec mon meilleur ami depuis le collège. Ça faisait un an qu'on ne s'était pas vus mais on a tout les deux gardé en nous cette amitié qui survit au temps et à la distance.
Je l'ai toujours considéré comme un frère, et ce sentiment est réciproque. Nous avons ensemble connu les rires, la peur enfantine de se retrouver séparés par l'acte d'une tierse personne. De ce jour là notre amitié s'est révélée solide comme un roc.
Il est de ces amis qu'on peut ne pas voir de l'année mais avec qui on peut éprouver quand même le bonheur de se retrouver. Lorsqu'on se retrouve, nous nous rappelons nos meilleurs souvenirs, nous rions et profitons du temps que nous avons à être amis ensemble ici et maintenant.
Alors, l'un dans l'autre, les choses sont mieux comme ça. D'un côté il y a des amis qui ont compté mais avec qui on ne se sent plus en accord, et de l'autre des amis qui continuent de nous aimer malgré tout.
Je préfère voir les choses de façon positives et ne pas souffrir de cette amitié de passage. Elle a été importante pour moi, ce n'est plus le cas.
Il y en aura d'autres comme celles là, mais il y aura toujours mes meilleurs amis qui resteront à mes côtés quoi qu'il puisse arriver.
Mais tous ces amis, ceux qui ne font que passer comme ceux qui restent, sont dans mon cœur malgré tout. Même si avec elle, c'est terminé, je n'oublierais jamais qu'un jour elle a compté. J'espère seulement qu'elle n'a pas fait semblant pendant tout ce temps.
Je savais depuis longtemps que l'amitié est à la fois quelque chose de solide et de fragile. Mais c'est toujours déplaisant de le constater.
Récemment, j'ai mis fin à une amitié qui avait disparue d'elle-même. Avec cette personne, j'ai connu de bons moments, mais depuis quelque temps les choses se sont dégradées. Elle a finit par ne plus me voir comme son amie, et a décidé de faire semblant du contraire, tout en me le faisant comprendre.
Je me suis rendue compte que pour moi aussi cette amitié n'avait plus de sens, prendre la décision de ne plus la voir ne m'a pas plus perturbé que ça.
Peut être qu'inconsciemment j'avais compris et assimilé le message qu'elle voulait me faire passer.
Mais je suis en colère, parce qu'il aurait été plus correct d'en parler plutôt que de se taire en me laissant m'imposer dans sa vie alors même qu'elle ne me supportait plus.
Je me dis parfois que c'est peut-être par peur de se mettre à dos nos amis commun qui l'a fait être hypocrite envers moi...
Je ne sais pas, mais s'il est une leçon que je retire de cette mésaventure, c'est que l'amitié n'est pas immuable. Elle peut s'envoler d'un coup, juste parce qu'on se rend compte un jour qu'on a pris des chemins différents, qu'on n'a tout simplement plus rien à se dire.
C'est une chose que je me suis toujours refusé à croire, on a toujours quelque chose à partager... Pas toujours il faut croire.
Je pense que les choses sont mieux ainsi, il aurait été gênant, douloureux ou juste énervant de continuer à faire semblant.
D'un autre côté, j'ai constaté la solidité que peut avoir l'amitié, parce que récemment j'ai repris contact avec mon meilleur ami depuis le collège. Ça faisait un an qu'on ne s'était pas vus mais on a tout les deux gardé en nous cette amitié qui survit au temps et à la distance.
Je l'ai toujours considéré comme un frère, et ce sentiment est réciproque. Nous avons ensemble connu les rires, la peur enfantine de se retrouver séparés par l'acte d'une tierse personne. De ce jour là notre amitié s'est révélée solide comme un roc.
Il est de ces amis qu'on peut ne pas voir de l'année mais avec qui on peut éprouver quand même le bonheur de se retrouver. Lorsqu'on se retrouve, nous nous rappelons nos meilleurs souvenirs, nous rions et profitons du temps que nous avons à être amis ensemble ici et maintenant.
Alors, l'un dans l'autre, les choses sont mieux comme ça. D'un côté il y a des amis qui ont compté mais avec qui on ne se sent plus en accord, et de l'autre des amis qui continuent de nous aimer malgré tout.
Je préfère voir les choses de façon positives et ne pas souffrir de cette amitié de passage. Elle a été importante pour moi, ce n'est plus le cas.
Il y en aura d'autres comme celles là, mais il y aura toujours mes meilleurs amis qui resteront à mes côtés quoi qu'il puisse arriver.
Mais tous ces amis, ceux qui ne font que passer comme ceux qui restent, sont dans mon cœur malgré tout. Même si avec elle, c'est terminé, je n'oublierais jamais qu'un jour elle a compté. J'espère seulement qu'elle n'a pas fait semblant pendant tout ce temps.
dimanche 29 juillet 2012
Ah, la nature!
J'ai envie de partager avec vous un phénomène naturel que je trouve particulièrement drôle (autant dans le sens bizarre que amusant): les rochers mouvants de la Death Valley, ou sailling rocks.
Ce phénomène se produit sur le Racetrack Playa, entre la Californie et le Nevada.
A cet endroit, les pierres avancent seules.
[source: Dailymotion- Pierre qui roule ]
A lire aussi:
Les rochers qui bougent tout seul... - Le blog de merlin
Death Valley's Sailing Stones Mystery - Solved - One Man's Blog [en anglais]
Pierres Mouvantes - Article Wikipédia
Death Valley - Ntional Geographic [en anglais]
Ice rafts not sails: Floating the rocks at Racetrack Playa [article intégral - en anglais]
Ce phénomène se produit sur le Racetrack Playa, entre la Californie et le Nevada.
A cet endroit, les pierres avancent seules.
"Le phénomène est étudié depuis la moitié du XXe siècle mais personne n’a encore jamais vu les pierres bouger. Les scientifiques en sont toujours à émettre des suppositions quant au déplacement de ces pierres.
une hypothèse possible est que certaines nuits pluvieuses, le sable devient glissant et les vents violents déplacent alors les rochers . Des physiciens lors d’une étude sur site en 1995 ont supposé qu’ils seraient poussés par le vent (des pointes à 145 km/h ont été enregistrées pendant l’hiver) , ceci associé à une quasi absence de végétation et de relief à cet endroit.
Mais personne ne les a jamais filmés, ni photographiés, ni surpris dans leur mouvement. Cette manifestation étonnante nous permet encore une fois de prendre conscience que la nature est loin d’avoir dévoilé tous ses mystères…..
l’histoire du vent et de la pluie ne tiennent pas la route. Avec un vent de 145 km/h, même si la pierre se déplace, elle ne laisserait aucune trainée, puisque celle-ci serait immédiatement balayer par le vent. Idem avec la pluie, faites une trainée dans le sable, et repasser après la pluie, nul doute que la trainée n’y sera plus…Faut creuser du côté du fait que ce phénomène n’est apparemment observé que dans la Vallée de la Mort, qui est un des rares endroits dans le monde, voire le seul, où le sol est d’une platitude parfaite et sans aucune aspérité.
C’est là que sont effectués tous les tests de vitesse extrême au sol, c’est pas pour rien…
Donc, qu’est ce qui peut faire déplacer une pierre ici, grâce à ce sol parfait ?"
[source: Dailymotion- Pierre qui roule ]
A lire aussi:
Les rochers qui bougent tout seul... - Le blog de merlin
Death Valley's Sailing Stones Mystery - Solved - One Man's Blog [en anglais]
Pierres Mouvantes - Article Wikipédia
Death Valley - Ntional Geographic [en anglais]
Ice rafts not sails: Floating the rocks at Racetrack Playa [article intégral - en anglais]
Lecture
Voici le livre que je suis en train de lire:
Un bon bouquin (un recueil de nouvelles écrites entre 1995 et le début des années 2000, que j'ai choisi au hasard pour élargir mon répertoire d'auteurs de SF. Et j'ai bien fait, le style est assez fluide et simple pour qu'on comprenne les détails scientifiques, il y a pas mal d'originalité dans ses récits.
Pour l'instant j'en suis qu'à la quatrième nouvelle, et pour l'instant chacune d'elle m'a happée, j'ai du mal à lâcher ce bouquin, qui nous emmène dans un univers futuriste mais néanmoins possible.
Et c'est ce qui est assez effrayant là-dedans, c'est que tout est susceptible d'exister, il n'y a rien de franchement extravagant. Greg Egan a extrapolé la science de son époque pour décrire ce qu'elle aurait pu devenir dans les années 2020-2030.
On retrouve des choses comme le déterminisme génétique, la thérapie génique, les mutations, l'art, l'individualité et la personnalité, l'industrie pharmaceutique, etc etc etc; autant de choses auxquelles nous sommes déjà habitués, et qui sont ici présentées sous leur plus mauvais jour (en exagérant un peu), Egan pose des problématiques quant à la moralité liée à ces thèmes.
Un livre que je conseille vraiment aux amateurs de SF.
Une bonne critique de ce livre à lire ICI . A commenter LA [Booknode]
Un bon bouquin (un recueil de nouvelles écrites entre 1995 et le début des années 2000, que j'ai choisi au hasard pour élargir mon répertoire d'auteurs de SF. Et j'ai bien fait, le style est assez fluide et simple pour qu'on comprenne les détails scientifiques, il y a pas mal d'originalité dans ses récits.
Pour l'instant j'en suis qu'à la quatrième nouvelle, et pour l'instant chacune d'elle m'a happée, j'ai du mal à lâcher ce bouquin, qui nous emmène dans un univers futuriste mais néanmoins possible.
Et c'est ce qui est assez effrayant là-dedans, c'est que tout est susceptible d'exister, il n'y a rien de franchement extravagant. Greg Egan a extrapolé la science de son époque pour décrire ce qu'elle aurait pu devenir dans les années 2020-2030.
On retrouve des choses comme le déterminisme génétique, la thérapie génique, les mutations, l'art, l'individualité et la personnalité, l'industrie pharmaceutique, etc etc etc; autant de choses auxquelles nous sommes déjà habitués, et qui sont ici présentées sous leur plus mauvais jour (en exagérant un peu), Egan pose des problématiques quant à la moralité liée à ces thèmes.
Un livre que je conseille vraiment aux amateurs de SF.
Une bonne critique de ce livre à lire ICI . A commenter LA [Booknode]
mercredi 25 juillet 2012
Explosions in the Sky
Explosions in the Sky est un groupe de post rock américain formé en 1999.
Pour en savoir un peu plus (l'article est de moi): http://musiqueforum.forumactif.org/t4540-explosions-in-the-sky
Mon coup de coeur du moment, et pour longtemps. A écouter en lisant du Terry Pratchett.
MaybeSheWill
Seraphim & Cherubins:
Maybeshewill est un groupe de post rock (ou math rock) originaire de Leicester, Royaume-Unis. Leur musique est caractérisée par l'utilisation d'éléments électroniques à côté de l'instrumentation 'classique' d'un groupe de rock et poussée à l'expérimentation. Certains tendent à les caractériser de groupe math rock.
Line Up: James Collins (Batterie), John Helps (Guitare), Robin Southby (Guitare) et Victoria Sztuka (Basse).
Discographie:
Albums:
- Not For Want of Trying (Field Records UK & EU, XTAL JP) (mai 2008)
- Sing the Word Hope in Four-Part Harmony (Field Records UK & EU, XTAL JP) (Juin 2009)
- I Was Here for a Moment, Then I Was Gone (Function Records) (30 Mai 2011)
- Ann Arbor / Maybeshewill Split (Field Records) (juillet 2006)
- Japanese Spy Transcript (XTAL) (août 2006)
- Seraphim & Cherubim / Heartflusters (Robot Needs Home) (septembre 2007)
- Anti-Semantics: The Remixes Vol. 1 (Robot Needs Home) (mai 2008)
- Amateur Grammatics: The Remixes Vol. 2 (Robot Needs Home) (octobre 2008)
- Maybeshewill / Her Name is Calla Split (Field Records) (novembre 2008)
Site officiel: http://maybeshewill.net/
Not For Want of Trying:
He Films The Clouds pt2:
Reflexion sur le bonheur
Le jour est rempli de mystères ordinaires, c'est un fait connu. On n'y porte pourtant pas plus d'importance que cela, on se contente d'avancer seul dans l'illusion d'avoir un but. Après tout, on a fini par oublier que la vie recèle en son sein des merveilles, qui ne nous émerveillent plus.
La clarté des rêves à fait place a la saleté de la réalité. Depuis trop longtemps, le monde s'est mué en un cloaque hideux où grouillent nos plus féroces cauchemars.
Que sommes nous donc? Nous avons cessé de rêver. Peut-être pas tous, mais suffisamment pour que
ceux qui restent soient quantité négligeable.
Cela dure depuis tant de temps qu'on peut se demander aujourd'hui si la beauté à jamais été de ce monde. Avons nous toujours connu la pestilence, la misère et l'ennui? A ce jour ce que nous croyons être beau n'est qu'une illusion, on court sans cesse après un bonheur qu'on ne peut atteindre, car ce bonheur est irréalisable.
Nous nous sommes créé des besoins et des désirs futiles, et nous croyons qu'en cela se cache le bonheur, quelle erreur. Nous avons fini par oublier que le bonheur se trouve en soi, pas dans ce que l'on pourrait posséder.
Le jour est rempli de mystère, notre cœur est rempli de bonheur, mais dans un cas comme dans l'autre, nous avons cessé de le savoir.
18/06/2012
La clarté des rêves à fait place a la saleté de la réalité. Depuis trop longtemps, le monde s'est mué en un cloaque hideux où grouillent nos plus féroces cauchemars.
Que sommes nous donc? Nous avons cessé de rêver. Peut-être pas tous, mais suffisamment pour que
ceux qui restent soient quantité négligeable.
Cela dure depuis tant de temps qu'on peut se demander aujourd'hui si la beauté à jamais été de ce monde. Avons nous toujours connu la pestilence, la misère et l'ennui? A ce jour ce que nous croyons être beau n'est qu'une illusion, on court sans cesse après un bonheur qu'on ne peut atteindre, car ce bonheur est irréalisable.
Nous nous sommes créé des besoins et des désirs futiles, et nous croyons qu'en cela se cache le bonheur, quelle erreur. Nous avons fini par oublier que le bonheur se trouve en soi, pas dans ce que l'on pourrait posséder.
Le jour est rempli de mystère, notre cœur est rempli de bonheur, mais dans un cas comme dans l'autre, nous avons cessé de le savoir.
18/06/2012
Johnny Cash
Un peu de musique:
Johnny Cash et Nick Cave - I'm So Lonesome I Could Cry
Non pas que je sois déprimée, non, et je ne suis pas seule. Je me sens parfois assez seule, c'est vrai, surtout quand une personne en particulier que je voudrait avoir près de moi est loin, beaucoup trop loin.
En fin de compte, la solitude est une illusion, on n'est jamais vraiment seul. Johnny Cash devait avoir de bonnes raisons de chanter cette chanson, moi je la prend pour illustrer un état passager.
Johnny Cash et Nick Cave - I'm So Lonesome I Could Cry
Non pas que je sois déprimée, non, et je ne suis pas seule. Je me sens parfois assez seule, c'est vrai, surtout quand une personne en particulier que je voudrait avoir près de moi est loin, beaucoup trop loin.
En fin de compte, la solitude est une illusion, on n'est jamais vraiment seul. Johnny Cash devait avoir de bonnes raisons de chanter cette chanson, moi je la prend pour illustrer un état passager.
mardi 24 juillet 2012
Bonjour
Bien le bonjour, chers amis bloggeurs.
Ce que je fais ici? Moi même je n'en sais trop rien.
Ce que je posterais ici: un peu tout et n'importe quoi, ce pourra être des créas comme des petites pensées pondues au hasard.
J’espère que cet ensemble hétéroclite vous satisfera.
Mais avant toute chose, je me présente.
Je suis Keagan, j'ai 23 ans (en tout cas cette année jusqu'en septembre), je vis dans une petite ville du sud appelée Sète, patrie de Brassens, de Jean Vilar et de Paul Valéry entre autres figures emblématiques.
Petite ville qui est certes attrayante mais que je me ferais une joie de quitter bientôt.
Bien sûr, ce ne sera pas nécessairement une joie de laisser famille et amis, mais je pense qu'il faut savoir prendre le large, voir autre chose que ce qu'on connait depuis toujours.
Je n'y suis pourtant pas née, j'ai débarqué dans ce port de pêche à l'âge de 4 ans, je suis née à Meudon, près de Paris.
Pour l'instant en recherche d'emploi. Je suis ce qu'on peut appeler quelqu'un de créatif. Je dessine, peint et écrit, il m'arrive aussi de prendre des photos (mais je n'ai plus d'appareil pour satisfaire mes désir de capter les images de mon quotidien).
Je posterais dans ce blogs mes créations, au milieu de mes pensées noires qui pourtant ne sont jamais dénuées d'espoir, parce que je suis quelqu'un de fondamentalement optimiste.
A bientôt.
Ce que je fais ici? Moi même je n'en sais trop rien.
Ce que je posterais ici: un peu tout et n'importe quoi, ce pourra être des créas comme des petites pensées pondues au hasard.
J’espère que cet ensemble hétéroclite vous satisfera.
Mais avant toute chose, je me présente.
Je suis Keagan, j'ai 23 ans (en tout cas cette année jusqu'en septembre), je vis dans une petite ville du sud appelée Sète, patrie de Brassens, de Jean Vilar et de Paul Valéry entre autres figures emblématiques.
Petite ville qui est certes attrayante mais que je me ferais une joie de quitter bientôt.
Bien sûr, ce ne sera pas nécessairement une joie de laisser famille et amis, mais je pense qu'il faut savoir prendre le large, voir autre chose que ce qu'on connait depuis toujours.
Je n'y suis pourtant pas née, j'ai débarqué dans ce port de pêche à l'âge de 4 ans, je suis née à Meudon, près de Paris.
Pour l'instant en recherche d'emploi. Je suis ce qu'on peut appeler quelqu'un de créatif. Je dessine, peint et écrit, il m'arrive aussi de prendre des photos (mais je n'ai plus d'appareil pour satisfaire mes désir de capter les images de mon quotidien).
Je posterais dans ce blogs mes créations, au milieu de mes pensées noires qui pourtant ne sont jamais dénuées d'espoir, parce que je suis quelqu'un de fondamentalement optimiste.
A bientôt.
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